Catégories : Hommes fessés
il y a 6 ans
Il y avait une prof attitrée qui, une fois par semaine, donnait ses leçons chez les grands des cm1-cm2. Nous changions alors de classe et devions monter un étage pour nous rendre dans une grande salle surmontée d’une verrière où le mobilier traditionnel de classe était remplacé par des plateaux inclinables et des tabourets à vis. C’était en quelque sorte un atelier.
Face au tableau noir sur l’estrade se trouvait une grande table rectangulaire sur laquelle la prof disposait les modèles à reproduire.
Notre classe était en principe calme; cependant, on avait tendance à considérer les activités artistiques (chant, musique, dessin) comme des activités secondaires où l’on pouvait se relâcher, de sorte que la prof de dessin devait nous reprendre assez souvent pour faire cesser le désordre.
Sans vouloir amoindrir ma faute, je dois dire que j’étais en butte à certains élèves, des fortes têtes dont j’étais un peu le souffre-douleur. Je dis bien, un peu, car je ne me soumettais pas de bonne grâce à leurs caprices et, lorsqu’ils me cherchaient des noises, j’essayais de me venger.
Le problème c’est que je n’étais pas souvent assez adroit – hélas ! – pour le faire discrètement dans le respect de l’adage « pas vu pas pris ! ». Du reste, ce manque d’adresse était la cause de nombre de mes mésaventures qui me faisaient prendre pour un élève instable et insolent, ce que je n’étais absolument pas.
Ces préalables étant, revenons au sujet : depuis plusieurs séances, la prof se plaignait d’une dissipation grandissante : certains se passaient des petits papiers, faisaient tomber leurs affaires… et puis un jour, quelqu’un envoya promener mes pinces à dessin au loin dans l’allée centrale pour me f o r c e r à aller les ramasser, ce que je fis en protestant bruyamment et sans demander l’autorisation de me déplacer.
La réaction de la prof ne se fit pas attendre.
« En voilà assez ! Je vous préviens, les garçons : le premier que je surprends encore à s’agiter derrière moi, eh bien ! il pourra s’inquiéter sérieusement pour ses fesses ! »
Cette annonce fit l’effet d’un coup de tonnerre. Sans ambages, elle avait clairement désigné la partie de notre personne qu’elle viserait pour nous punir ; et là, pas besoin de « dessin » ! On comprenait immédiatement le genre de punition qui nous attendait ! Pourtant, cette menace de fessée nous surprenait d’autant plus que l’année était bien avancée et que, jusqu’ici, elle n’avait usé d’aucune f o r c e physique, se contentant de grands éclats de voix ou de coups secs de sa règle sur le bureau.
Le calme fut rétabli pendant deux cours, mais au troisième, les choses se gâtèrent de nouveau. Un copain, installé devant moi, renversa sciemment mon gobelet sur l’aquarelle que je terminais. Résultat : papier tout détrempé et couleurs mélangées… Tout à refaire ! De fureur je me dis : « toi, tu vas me le payer ! ».
Je bouillais intérieurement, attendant pour préparer ma réplique qu’il se retourne et m’oublie. Puis, profitant d’un moment où la prof disposait une nature m o r t e sur la droite de la table (cruche en terre cuite, assiette, pomme et poire par-dessus),et que mon « agresseur » se lève comme nous le faisions pour dessiner d’après modèle, je me penchais pour placer une punaise sur son tabouret.
Mon tabouret avait-il fait du bruit lorsque je me levai ? Toujours est-il que la prof se retourna et me vit, le buste penché et le bras tendu vers le siège de devant.
L’inévitable dialogue s’engagea.
« Que fais tu là ? »
« Je ramasse quelque chose » lui rétorquai-je avec les joues rouges et la voix vacillante.
« Ah oui ? Tu n’as vraiment pas l’air de ramasser quelque chose avec une pareille posture ! Reste debout que je vienne voir quelle sottise tu étais en train de faire ! »
La prof s’approcha de mon pupitre et n’eut aucun mal à découvrir la punaise au centre du tabouret de mon copain. Sans dire un mot, elle saisit la punaise et retourna à son bureau ? Et soudain, me fixant d’un regard noir, elle déclara :
« Il me semble vous avoir prévenus que je ne tolèrerais plus de troubles, n’est-ce pas ? »
« Oui, M’dame ! »
« Alors rappelle-nous ce qu’il arriverait si cela se reproduisait ! »
A quoi je répondis en me reprenant à plusieurs fois et en bafouillant tant la peur étranglait mes paroles :
« Je… euh… on devrait…euh … s’inquiéter… pour ses fesses ! »
« Donc tu le savais et pourtant tu l’as fait ! »
« Pardon M’dame, j’voulais pas ! Je… » tentais-je de m’excuser en baissant les yeux. Mais elle me coupa net :
« Mais tu as quand même désobéi. Aucune excuse, mon garçon ! Viens immédiatement sur l’estrade ! »
J’étais cuit ! A contrecœur, les joues très chaudes, le cœur battant, je me traînai lentement sur mes jambes flageolantes dans l’allée centrale jusqu’à l’estrade sous les regards curieux mais inquiets de toute la classe.
La prof me dominait du haut de l’estrade. La quarantaine, grande brune au physique méditerranéen (je dirais espagnol), drapée dans sa blouse blanche, elle me fusillait du regard m’obligeant à me tasser sur moi-même.
Lorsqu’elle descendit d’un bond de l’estrade pour se placer devant la grande table, je me sentis frissonner sous la longue blouse grise que l’on revêtait exprès pour les cours de dessin. Au-dessous, nous étions en mai, j’étais simplement en culotte courte.
Une fois devant elle, elle m’ordonna de relever la tête et de la regarder, puis elle apostropha la classe dans des termes qui ne laissaient aucun doute sur l’imminence de mon sort.
« Ecoutez-moi bien, vous autres ! Votre camarade va être puni ici même devant vous parce qu’il m’a désobéi. Il a choisi délibérément de perturber la classe malgré mon avertissement… Et il sera même doublement puni car, en outre, il a failliblesser un camarade… »
Abaissant les yeux sur moi, elle poursuivit sur le même ton qui m’écrasait davantage :
« Marco, je ne veux pas savoir pourquoi tu as fait ce geste dangereux. Je veux seulement t’entendre me dire que c’est toi qui as posé cette punaise. Regarde-moi dans les yeux et réponds ! Est-ce toi ?
« … Oui M’dame, c’est moi ! » répondis-je d’une voix pâle et repentante.
« As-tu conscience que pour ta mauvaise conduite, et ce n’est pas la première fois, et aussi ton mensonge, tu mérites d’être puni sévèrement ? »
« …Oui, M’dame… » opinai-je avec quelques s a n g lots dans la voix. Je savais qu’il valait mieux obéir que protester.
« Bien, maintenant monte sur l’estrade avec moi, que je puisse m’occuper de tes fesses comme je l’avais promis ! »
Résigné, je grimpai sur l’estrade, ce qu’il était interdit de faire en temps ordinaire sans permission, et un peu effrayé de me retrouver perché en cet endroit intimidant réservé à nos professeurs, j’obéis docilement aux ordres qu’elle me donnait.
« Approche-toi encore… là appuie-toi contre mon bureau… maintenant, courbe-toi et allonge-toi au-dessus du bureau… bras tendus devant ta tête, ton buste bien à plat… Mieux que ça ! Voilà !.. c’est bien ! Tu sais obéir quand tu le veux ! »
Une joue posée contre la surface dure du bureau, je n’osais plus lever la tête pour regarder mais je sentis que la prof se collait contre ma hanche et que son bras gauche s’enroulait autour de ma taille.
Derrière moi, le silence. Puis je sentis qu’elle se penchait et soulevait le bas de ma blouse. C’était quelque chose que je n’avais pas prévu. Je m’attendais à une sévère fessée, mais seulement par-dessus la blouse. J’avais déjà assez honte de me retrouver perché sur cette estrade mon derrière tendu face à toute la classe.
Elle continuait à remonter la blouse et finit par la retrousser jusqu’à mes épaules dégageant mon postérieur serré dans sa culotte courte. Je crus comprendre qu’elle voulait me claquer par-dessus la culotte. Mais pourquoi tirait-elle les côtés de ma chemisette hors de la culotte pour la rouler au-dessus de mes reins ? Aussitôt ,je sentis l’air frais caresser la moitié de mon dos dénudé. Cela devenait inquiétant, d’autant plus que des murmures commençaient à se faire entendre dans la classe. Pourquoi tous ces préparatifs ?
Mes pressentiments se confirmèrent lorsqu’une main se faufila entre le bord du bureau et mon ventre, cherchant à tâtons la ceinture qu’elle déboucla. Mes cheveux se hérissèrent. Ce n’était pas Dieu possible ! Elle n’allait tout de même pas me punir comme je l’étais à la maison, m’affolais-je !
« Pardon M’dame ! Je vous demande pardon ! Je vous l’promets, je l’referai plus ! »
Je n’obtiens aucune réponse mais, au contraire, une accélération plus franche des gestes. La ceinture débouclée, la main farfouilla au-dessous, trouva la tirette de la fermeture à glissière. En un clin d’œil, elle écarta les pans de la braguette et abaissa ma culotte courte jusqu’à mes genoux. Puis elle lâcha prise.
Me voilà en slip devant mes camarades ! Leurs murmures augmentèrent, redoublant pareillement ma honte.
La panique me gagna quand, après une courte pause, sa main frôla mes reins et vint se poser sur l’élastique de mon slip.
« Non ! M’dame, s’il vous plaît ! Pas le slip ! Pas le slip ! » avec toute la f o r c e du désespoir dans mes supplications. Cependant, les doigts persistent dans leur progression, crochètent la ceinture…
« Ah ! mon slip… laissez-moi mon slip ! Non ! Pas devant mes copains ! S’il vous plaît ! »
Encore un geste imperceptible et le tissu glissa de quelques centimètres au-dessous de mes hanches. J’eus envie de réagir pour retenir mon slip avant le désastre. Hélas ! ma blouse rabattue sur mes épaules et mes bras tendus m’interdisaient de les ramener en arrière et le tissu continua de glisser inexorablement.
A petits gestes sûrs, la prof réussit calmement à dégager entièrement mes hanches, le slip rabattu au ras de mes fesses. Cela ne sembla pas lui suffire. De ses deux mains elle me tira légèrement par les hanches pour m’éloigner du bord du bureau. Puis, je sentis les mains le reprendre par le milieu et le tirer franchement.
Le devant du slip encore en place céda, se replia, dévala d’un trait le long de mes cuisses. Horreur ! me voilà cul nu devant toute la classe ! Des exclamations saluèrent la performance. Aux bruits, je devinai même des tabourets que l’on déplace, des pas qui se rapprochent. Mes camarades venaient au spectacle inédit d’une fessée cul nu : une première dans cette classe.
Je suffoquai quand la prof encercla fermement ma taille sous son bras gauche. Comme d’habitude quand on me fessait à derrière nu, je ressentis la fraîcheur trompeuse que connaissent bien toutes les victimes spécialement déculottées dans l’attente imminente de la fameuse fessée déculottée.
Ce petit vent coulis, qui se faufilait dans mes intimités pile et face, me faisait frissonner et serrer mes fesses. Je me sentais nu et, pour tout dire, honteusement et misérablement nu.
Et la fessée tant redoutée arrive enfin ! Je ne m’étendrai pas sur ce qu’est une fessée ni ce qu’on ressent lorsqu’on la reçoit, les contributrices et contributeurs de ce blog ayant largement détaillé le déroulement et les effets d’une fessée punitive.
Cependant, je tiens à reconnaître que la prof de dessin savait fesser sans hésitation un élève indiscipliné. De la même façon que sa main frappait méthodiquement chacune de mes fesses nues de claques retentissantes, elle réussissait à battre en brèche ma résistance.
En mon for intérieur, malgré la douleur insupportable qui envahissait peu à peu mon fessier tout entier, j’aurais voulu recevoir intégralement cette fessée sans broncher afin de retirer une petite estime de la part de mes copains et être admis dans le clan des « forts ».
Il en fut tout autrement. Cette fesseuse intraitable me fit passer par toutes les étapes successives du déclin de ma bravoure pour finir en fontaine inépuisable de larmes, trépignant et braillant sans retenue, oubliant ma honte à subir cette fessée publique pour me concentrer exclusivement sur les douloureux cercles de cuisson qui, progressivement, s’élargissaient autour de mes fesses en feu.
Est-il nécessaire de décrire mon fessier ? Cramoisi à souhait ! Et le reste ? Punies avec la même vigueur, mes cuisses rougeoyaient jusqu’aux jarrets.
J’eus même un peu mal par devant car, dans les moments les plus mouvementés de la fessée, mes ruades et tortillements m’avaient souvent projeté contre le rebord du bureau que mon pubis heurtait douloureusement.oscar-apacomic112-3det-193x300
Son devoir accompli, la prof me fit relever manu militari puis me traîna tel quel vers le tableau contre lequel elle me colla le nez. Malgré la courte distance séparant l’estrade du tableau, j’eus du mal à marcher à cause des larmes qui embrouillaient ma vue et de mes vêtements qui s’emmêlaient autour de mes chevilles.
Elle m’ordonna de me tenir au coin immobile les mains sur la tête, et, après avoir agrafé des pinces à dessin sur les bords de ma chemisette et de ma blouse pour les maintenir relevées aux épaules, elle me laissa sur une nouvelle menace :
« Tu vas rester comme ça au piquet le temps qu’il faudra, mon petit Marco, et je t’interdis de bouger sinon je te sors dans le couloir et te fesse dans la cour ! C’est compris ? »
Puis, s’adressant aux autres élèves qui avaient regagné leurs places :
« Vous allez me finir vos natures m o r t es. Je veux voir un beau rouge vif sur la pomme ! Inspirez vous donc de la couleur des fesses de votre camarade. Profitez- en car elles ne sont pas prêtes de reblanchir ! »
Je n’étais pas prêt non plus à songer à me venger en cours de dessin ! Malgré les quolibets, d’autres traquenards me valurent encore d’autres mésaventures.
Cependant, cette prof avait « assis » son autorité sur la classe grâce à mon involontaire contribution, tant et si bien que, l’année suivante en cm2, le souvenir de ma fessée était resté dans les esprits, et lorsqu’un élève avait commis quelque écart, et que la prof voulait le faire venir pour le fesser, il tentait de s’accrocher à son siège comme un coquillage sur son rocher !
Mais il avait beau faire, il lui était impossible, d’échapper à la fessée déculottée. Un spectacle qui ne me dédommageait pas vraiment de celle que j’avais reçue quelques mois auparavant ! Mais ceci est une autre histoire !
M.Faycé
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